Dr. Feelgood

Mötley Crüe

01/09/1989

Elektra Records

Trente ans, ça commence à chiffrer. On appelle ça des noces de perle quand on est marié, mais a-t-on vraiment déjà été marié à MÖTLEY CRÜE ? Non, personne n’a jamais épousé MÖTLEY parce que le groupe, en un sens, a toujours été la maîtresse idéale, mais jamais la légitime. Et puis dans le cas de Nikki et des autres, trente ans, ça ne veut rien dire. Dans deux ans, on fêtera les quarante ans de la création de la créature des rues, des noces d’émeraude. Putain les mecs, quatre fois dix années à s’aimer, sur une étoile, ou plutôt sur un oreiller, ou sur un vieux canapé dans le studio, Vince Neil style, toujours la classe. Pourtant, ces quatre-là, avant qu’ils ne s’envoient dans le décor et qu’ils se déchirent comme des amants un peu trop terribles, avant qu’ils ne se reforment pour sortir de bons disques et engranger encore plus de thunes en tournée, ils l’avaient. La classe des voyous, de ceux qui n’ont pas de parole et qui pourtant la respectent. Comment ? Simple, dès le départ, Nikki nous avait averti, le Rock n’roll, il ne savait faire que ça, il ne voulait faire que ça. Mais pas n’importe comment, et pas avec n’importe qui. Avec les bons, des mecs d’un autre univers, d’une autre planète, mais branchés sur les mêmes satellites lunaires que lui. D’ailleurs, Mick, Nikki, et même ce grand sot de Corabi ne se sont jamais privés pour nous montrer la leur, comme s’ils admettaient qu’à plus d’une reprise, ils avaient quand même eu du cul. Et tiens, en parlant de culs et de larrons, c’est toujours l’occasion qui les fait, et la sortie de The Dirt me permet de revenir sur un épisode glorieux de la carrière de ces grandes folles, et leur plus haut fait d’armes. Non, je ne parle pas de ces pauvres jeunes filles laissées aux roadies pour cause de sniffade en retard, ni des tenues absolument infâmes du Theater of Pain tour. Je parle de ce putain d’album, de ce chef d’œuvre ultime qui a enfin ouvert les saloperies de portes du Panthéon à ces autres zonards. Je parle de Dr.Feelgood. Et croyez-moi, Nikki Sixx le connaissait bien. Il lui achetait même ses doses, avant de s’apercevoir qu’une seule suffisait à le mettre au tapis. Mais nul ne peut tuer la bête et se réjouir de son cadavre. Et Nikki était salement vivant au moment d’enregistrer ce disque.

Et il pouvait. Lui qui a près sa séparation d’avec Vanity s’est mis à continuer à faire n’importe quoi n’avait pas le choix. Son groupe rameutait des millions de fans en tournée, vendait des LP comme des petits pains, mais la reconnaissance légitime tardait. D’ailleurs, Nikki le disait lui-même, il en avait marre. WHITESNAKE, GUNS N’ROSES, tous ces combos qui ouvraient pour eux avaient plus de succès, alors que son propre bébé n’atteignait jamais leurs chiffres de vente. Il faut dire qu’avec 1987 et Appetite for Destruction, les deux autres avaient de quoi lui refiler des complexes. Remonté comme une pendule, Nikki passa à la vitesse supérieure, oubliant par la même que Coverdale avait dû patienter plus d’une décennie avant de faire craquer l’Amérique avec « Is This Love » ou « Still of the Night ». Première étape, se débarrasser de certaines mauvaises habitudes. Les groupies, non, on les garde, d’ailleurs, le brun ténébreux avoua à l’époque avoir très envie de se taper une blonde. La picole ? On garde un peu aussi, mais plus modérément. Le Rock n’Roll ? Vous n’êtes pas sérieux. Non, on abandonne la poudre, on se retape, on adopte un mode de vie plus stable, on fréquente les salles de sport, et on va se défouler avec Tommy ou Vince dans les collines d’Hollywood pour tirer à l’Uzi. Parce que ce que Nikki cherche justement, c’est le carton plein. Le sans faute. L’album parfait, comme ses idoles les BEATLES ou CHEAP TRICK ont réussi à le faire avant lui. Et il n’est guère étonnant de constater que les deux références marqueront de leur empreinte Dr.Feelgood. Les premiers, par repompe pure et dure sur le final de « Slice Of Your Pie », que Sixx avoue piqué au terriblement Heavy « I Want You » de Lennon, sur Abbey Road. Les seconds, en participant directement, via quelques chœurs « offerts » en background, sur le salace « She Goes Down », et Tommy, pas peu fier de collaborer avec Robin Zander et Rick Nielsen, s’en tapera le bide de joie. Lui qui quelques années auparavant a réussi à conquérir Hollywood en séduisant l’une de ses plus belles fiancées. Mais comme n’importe quelle love-story hollywoodienne, Dr.Feelgood abuse de tout, augmente tous les niveaux, et sublime enfin des compositions qui frappent fort. Parce qu’après la déconvenue grotesque du pitoyable Theater of Pain, que même ses comparses conspueront (sans parler des critiques, à raison, mais jamais les derniers à frapper la bête lorsqu’elle est au plus mal), parce qu’après le pilotage automatique de Girls, Girls, Girls (pas dégueu, mais plus proche d’un club de strip-tease texan que d’une maison de passe de luxe californienne) qui satisfera quelques fans mais pas les plus difficiles, Nikki sait qu’il n’a plus, qu’ils n’ont plus le choix. Avant la fin de la décennie, MÖTLEY doit enfin être ce qu’il a toujours été dans la tête de Frank Carlton Serafino Feranna, Jr.  Le plus grand groupe de Rock de l’Amérique. Et bientôt du monde. Alors, au boulot, et une fois encore, pas avec n’importe qui.

Car pour enregistrer un grand disque, il faut un grand producteur. Les BEATLES avaient Sir George Martin, Lou Reed et Alice Cooper avaient Bob Ezrin, SCORPIONS bénéficiait des largesses de Dieter Derks, les MÖTLEY porteront leur choix sur Bob Rock. Bonne pioche. Le canadien s’y connaît en son larger than life, et pourtant en 1989, il n’a pas encore fait grand-chose. KINGDOM COME, Colin JAMES en tant que chef des travaux, mais BON JOVI, LOVERBOY, HONEYMOON SUITE et AEROSMITH en tant que second. Et c’est lui qui donnera ce son de batterie maousse à Tommy, qui cognera enfin en studio comme il frappait sur scène. Le groove dégoulinant des baguettes et le stupre dans la grosse caisse, qui tonnera si fort qu’elle agitera les oreilles d’un certain Lars Ulrich. Mais le Black Album n’était pas d’actualité en 1989…1989 justement, le Hard Rock américain ne le sait pas encore, mais il est exsangue, à la limite du K.O, vivant ses derniers instants de gloire. Seattle n’est encore qu’une ville dont le dernier habitant la quittant devra éteindre la lumière pour les américains, mais sa scène musicale ne va pas tarder à raser le pays et étêter les stars emplumées d’hier, pour le pire, mais aussi le meilleur. Mais avant de disparaître corps et bien avec l’eau du bain, le bébé chéri de la scène Hard de Californie a encore des choses à prouver. D’une part, et sans doute la plus importante, ce nouvel album destiné à intégrer le hall of fame se devait d’être enregistré sobre. Plus question de défonce, plus question de se réveiller à 17h la tête dans le cul sans aucun autre souvenir de la veille que le goût du baiser malté et poudré d’une nuit de débauche. Après son O.D, Nikki se la joue clean, fait de la muscu, mange des nouilles, et entend bien garder la sienne la plus dure possible. Difficile à faire comprendre à trois comparses qui comme lui, n’ont jamais prié d’autres Dieux que ceux du Houblon et de la colombienne, et surtout, difficile de leur faire admettre que pour la première fois de la carrière du groupe, ils allaient devoir s’affronter quotidiennement sans l’aide d’alcool ou d’opiacés. D’ailleurs, Rock, qui décrira le quatuor comme « quatre voyous de L.A buvant une bouteille de vin chacun et passant leur temps à essayer de se flinguer entre eux », trouvera vite l’option ingérable. La seule solution : que chacun enregistre ses parties dans son coin. Alors, on est bien loin de l’image des super-potes-de-toute-une-vie projetée avec beaucoup de sournoiserie par le clip de « Don’t Go Away Mad (Just Go Away) », et pour l’unité humaine, on repassera. Mais l’unité humaine peut bien souffrir pour apaiser la soif de reconnaissance. Et Nikki lui court après depuis trop longtemps.


I knew it all along, I'd have to write this song

Too young to fall in love, guess we knew it all along

 

Cette chanson qu’il devait écrire, c’était la meilleure de sa vie. Non, plus exactement, les meilleures de sa vie. Parce que jusqu’à présent, et à l’exception du phénoménal et cru Too Fast For Love, MÖTLEY ne nous avait refourgué qu’une poignée d’hymnes planqués par une forêt de fillers. Le fameux all killer no filler qu’on était en droit d’attendre encore une fois traînait la patte, alors qu’on savait le groupe capable de l’enfanter. Dans la douleur. Bon, OK, avec honnêteté, Shout at the Devil mérite un traitement plus clément, mais il reste totalement hors-sujet, puisqu’il montrait la bête sous un jour beaucoup trop Heavy pour son style. Ce qui n’empêcha pas la bande d’y faire référence dans les paroles susmentionnées, comme un clin d’œil à un passé qu’ils savaient devoir enterrer très bientôt. Et les références internes ne manquaient pas sur Dr.Feelgood. Celle à l’histoire perso de Nikki évidemment, au travers d’un title-track louchant sur la légende américaine du croquemitaine en long manteau qui vient vous apporter votre dose, et par extension du Dr. Max Jacobson, désigné par ce petit surnom par les services secrets US sous le court règne de John Kennedy. Et c’est encore Nikki qui en rapportant un jour le quickie « Kickstart My Heart » en répétition (selon lui un truc pas génial et à peine digne de Too Fast For Love, ce sont décidément les auteurs qui sont les pires juges de leur propre œuvre) se regarde dans le miroir, et se souvient de l’intervention des secours le jour de son coup de cœur presque fatal. Bang, l’électrochoc, l’adrénaline direct dans le palpitant, et le truc le plus proche du Rock N’Roll que le gang a jamais enregistré. Une intro mythique du placide Mick, un beat d’enfer tonné par skinny Tommy, un riff à rendre dingue tous les groupes de L.A, et Vince qui s’éclate à la guitare, se gaussant des images de course automobile du clip, sa passion. Mais si le CRÜE, c’est la fureur, c’est aussi la douceur, et cette facette-là, c’est souvent Tommy qui l’a incarnée, assez bizarrement au vu de son caractère exubérant et de son comportement d’adolescent. Et c’est sa love story avec la belle Heather qui inspira à Mick et Nikki le velouté « Without You », certes pas la ballade du siècle, mais de quoi se reposer les oreilles après la partie de talk box enragé de « Kickstart My Heart ». Clip shooté (désolé…mais oui) à Corpus Christ, Texas, panthère noire, flou suranné et images de playboys, le groupe remontait la pente, et se présentait sous son meilleur jour. Mais quoi d’autre encore ?

Les blagues de potache évidemment, et les allusions sexuelles, toutes plus salaces les unes que les autres. Cherchant à battre son propre record de « Ten Seconds to Love », qu’il dédia au PMRC, Nikki se surpasse et signe des textes à rendre David Lee Roth, Robert Plant et David Coverdale rouges de honte de passer pour de gentils communiants. Entre « Same Ol' Situation (S.O.S) » et son histoire de fille qui quitte son mec pour une fille, le subtil « Slice Of Your Pie » à transformer « The Lemon Song » pour un poème de Baudelaire (« Hey pretty pretty from across the room, got something sticky sweet for you, order me up another slice of you », ça vaut quand même largement « Squeeze me baby, 'till the juice runs down my leg » en intensité romantique), et « She Goes Down » évoquant avec légèreté une fille aux mœurs plutôt légères, le tableau est complet, et le calcif aussi. Sauf que pour une fois, la grivoiserie s’accompagne d’une bande son saturée de Hard-Pop, ce cette fragrance que les détestés POISON ont élevé au rang d’art, en suivant les conseils de CHEAP TRICK à la lettre. D’ailleurs, outre le jeu et la gestuelle de Tommy dont Bun E. Carlos peut légitimement revendiquer la moitié de la paternité, ce sont les deux frères ennemis Rick et Robin qui viennent pousser la chansonnette en exil au Canada sur « She Goes Down », ce qui en dit long sur la caution d’intégrité bubble-gum de l’accolade. Sûrs de leur fait, les CRÜE lâchent leurs riffs les plus accrocheurs, et peu importe que celui de « Sticky Sweet » soit complètement pompé sur AEROSMITH, puisque Steven Tyler en excuse l’outrecuidance de sa présence dans les chœurs, aux côtés d’un Bryan Adams trop heureux d’être de la fête. Et le véritable tour de force de Dr.Feelgood est justement là, juste à côté, au-delà de ces featurings trop fameux dans le créneau « grande famille du Rock N’Roll qui s’aime…le nombril ». Il est dans cette capacité qu’on pensait indécelable à jamais, cette facilité d’éviter l’ellipse pour une fois, de tout montrer, le talent, la vulgarité, le stupre, après avoir exhibé sa bite à l’écran sur la télé française, et son narcissisme dans les colonnes des magazines.

Marre d’être de simples crétins amuseurs de foire, les quatre musiciens se rachètent une conduite, mais font rouler leur musique encore plus rapidement, avec des freins plus solides, une suspension flambant neuve, et le plein de super. Pas besoin ici de se cacher derrière un « Home Sweet Home » pour justifier d’un manque flagrant d’inspiration, tout est nickel chrome, même les facilités comme « Rattlesnake Shake ». Sur Theater of Pain, ce morceau faisant partie des plus faibles aurait fait figure de hit imparable. Ici, aussi entraînant et entêtant soit-il, il n’est qu’une gentille passade, ne tenant pas une seule minute la comparaison avec « Dr. Feelgood » ou « Don't Go Away Mad (Just Go Away) ». Tiens, plus encore, même lorsqu’ils deviennent sérieux, les mecs ne font plus rire. Et « Time For Change », malgré un texte un peu emprunté, sonne sincère, et socialement engagé. Peut-être les conséquences à priori de ce concert gigantesque en Russie, ce Moscow Music Peace Festival qui précéda de peu la sortie de l’album ? Mais ce qu’on aime chez MÖTLEY à ce moment-là, ce ne sont pas les prises de conscience, ni le souvenir des interviews de Nikki et ses récits sur l’achat d’un percolateur, ni les camisoles de force sur la pochette, c’est cette façon - enfin -  d’avoir les arguments de ses prétentions. On le savait, encore plus depuis la sortie de The Dirt, que Sixx a toujours voulu être admiré, lui le gamin des rues à la pauvreté affichée, mais à l’assurance énorme. Sauf que jusqu’à présent, seuls ses fans apportaient du grain à moudre à son moulin, et surtout pas la presse spécialisée, qui s’est toujours fait un malin plaisir de les dézinguer dans les grandes largeurs. De ce cinquième LP, Mick Wall dira que « pour la première fois, MÖTLEY CRÜE allait faire parler de lui pour sa musique. ». Car selon lui, jusqu’à présent, l’équipe chamarrée ne fut célèbre que pour ses parades inimitables sur scène. Le genre de faux compliment qui écrasa KISS dans les années 70, et qui donne enfin des raisons de croire à son talent. Sans vraiment l’admettre, Nikki a toujours eu besoin de cet aval que les professionnels lui refusaient avec mépris et dédain. Mais en 1989, c’était le temps du changement justement. Et pourtant, Dieu que la concurrence était rude…

Sur scène, MÖTLEY essaiera de se mesurer à la folie des jeunes loups de SKIDROW, Vince tentant avec maladresse de dire autant de grossièretés que Sebastian Bach, sans vraiment y parvenir. Mais 1989, justement, et personne ne pouvait le contester, c’était l’année MÖTLEY. Je me souviens avec exactitude avoir acheté le vinyle en même temps que la compilation Hard Rock Rendez-Vous, du même magazine. Avec des réactions plus ou moins différentes. Des chiffres de vente aussi. Dr.Feelgood finira par s’écouler à six millions d’exemplaires aux USA seulement, et sera disque d’or en Angleterre, la perfide Albion étant pourtant assez réticente à célébrer les glorioles d’outre-Atlantique. Il grimpera sur la plus haute marche du sacro-saint Billboard, et y restera 109 semaines. Encore loin du record de Dark Side of The Moon, mais le CRÜE et PINK FLOYD n’ont jamais joué dans la même catégorie, ni pour les mêmes étudiants. Ceux du FLOYD adulaient l’archi, ceux de MÖTLEY se torcher. Grave. En même temps, que faire d’autre en écoutant cet album qui allait s’avérer le pic d’une carrière qui touche aujourd’hui à son terme ? Anticiper une compilation hommage refermant une décennie d’excès par un inédit moyen et une reprise ratée des PISTOLS ? Savoir que peu de temps après, Vince en aurait marre de cette vie d’ascète en tournée, sans picole et avec trop de brocolis ? Que les magouilles avec McGhee allait avoir raison de la cohésion du groupe qui allait se fracasser en plein vol, voir Vince se retrouver le cul par terre et John Corabi montrer le sien pour faire le malin ? Se dire que les nineties ne seraient pas les plus marrantes à vivre pour la génération Hair Metal ? Non, rien, ne rien se dire, et continuer de croire que la fête n’était pas finie, rêver du Strip, du Sunset, du Roxy, du Whiskey, acheter de la laque, du cuir, regarder sa mobylette en la voyant comme une Harley avec son guidon torsadé, apprécier le souffle des amplis au travers de la production si Rock de Bob, imaginer Nikki sur scène repérant les plus jolies groupies, chanter comme un crétin avec Vince le refrain de « Kickstart My Heart », et penser que même avec l’avenir le plus pourri du monde, créneau champion toute catégorie de la lose, on avait quand même eu la chance de connaître ça. De la chance oui, sauf que le triomphe de Dr.Feelgood ne lui devait absolument rien. Cet album était le fruit de dix ans de travail acharné, d’un amour de la vie non sans failles, de sang qui coulait souvent en dehors de veines trop pointées, et de timing parfait. L’heure était enfin à la fête, la vraie, celle qu’on célèbre encore trente ans après. Va-t-on pouvoir leur dire adieu, une bonne foi pour toutes ? Difficile, surtout lorsqu’on réalise que la distance entre ce LP et Theater of Pain était la même qui séparait une dose de crack achetée sur les quais d’une ligne de coke pure sniffée dans les chiottes durant une soirée de gala.

MÖTLEY CRÜE n’a pas enregistré Dr.Feelgood. Il était notre Dr.Feelgood. Le meilleur dealer de pur fun que l’on ait connu. De quoi rendre accro pour toute une vie, et même celle d’après.          

           

Titres de l’album :

                            01. T.N.T. (Terror 'N' Tinseltown)

                            02. Dr. Feelgood

                            03. Slice Of Your Pie

                            04. Rattlesnake Shake

                            05. Kickstart My Heart

                            06. Without You

                            07. Same Ol' Situation (S.O.S.)

                            08. Sticky Sweet

                            09. She Goes Down

                           10. Don't Go Away Mad (Just Go Away)

                           11. Time For Change

Site officiel


par mortne2001 le 04/09/2019 à 17:59
100 %    1251

Commentaires (1) | Ajouter un commentaire


Jus de cadavre
membre enregistré
04/09/2019, 23:59:34
30 ans ! Et il a pas fini de tourner celui là ! Le seul album du Crüe que j'écoute, le glam en temps normal c'est pas pour moi. Mais celui-ci faut avouer qu'il a de la gueule !

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