Nous arrivons un peu après la bagarre pour la "critique" (entre guillemets, car nous ne sommes pas des "critiques" de film) du fameux biopic sur MÖTLEY CRÜE : THE DIRT, le film étant sorti en mars dernier... Mais, ce n'est pas le film du siècle, donc vous ne nous tiendrez pas rigueur de ce délai j'espère...
Jus de cadavre :
Quand on pense aux mots "Rock stars", avec tout ce que ce terme traîne derrière lui, on pense forcément au plus grand groupe de Glam du monde : MÖTLEY CRÜE.
Pour certains, et moi le premier, ils représentent même quasiment la définition de ce qu'est "être une rock star". On pense bien entendu aux drogues, à l'alcool, au cul, à la musique (oui quand même, et pourtant ce n'est pas ce qui vient en premier !), aux fêtes outrancières et sans fin, à l'argent, etc.... Mais pour ma part je pense aussi à une certaine stupidité, à l’insouciance (pour rester poli, c'est plutôt de l'ignorance), à la mégalomanie... et aussi au pathétique. C'est un peu tout ça être une rock star. C'est une chose, quand on écoute du Rock au sens large depuis très longtemps, qui fait forcément un peu fantasmer (si si, ne la jouez pas "moi jamais !"), mais quand on s'éloigne un peu des clichés, et qu'on gratte un peu, qu'on regarde derrière le rideau, forcément c'est moins reluisant. Et ce film, même si ce n'est pas la plus grande réussite des films traitant de ce monde, ne déroge pas la règle du "attention tout n'est pas rose dans le monde du Rock n'Roll". Mais à sa façon...
THE DIRT, sorti en mars dernier, est réalisé par Jeff Tremaine réalisateur et fondateur des cultes Jackass qui s'est donc attelé à la mise en image et à la réalisation de ce biopic tiré directement du livre biographique du même nom, sorti lui en 2001 aux États-Unis. Autant vous dire tout de suite que le livre, paru en français en 2007, je l'ai dévoré. Et il a fait l'effet d'une bombe chez le jeune homme que j'étais à l'époque. Si vous l'avez lu, vous savez de quoi je parle. Tout est "trop", tout est fou dans cette bio, et on peine parfois à croire ce qu'on lit tellement ces mecs ont poussé le concept de rock star à fond. Comme il le disent eux même, ils étaient "devenus des animaux". Ni plus ni moins. Et un journaliste du magazine Rolling Stone, en une petite phrase, résumait parfaitement le livre à l'époque « The Dirt renvoie toutes les autres biographies dans la catégorie de littérature pour nonnes. ». Voilà.
Même si on suit le groupe dans son ensemble dans ce film, on décèle vite que le "héros" choisit n'est autre que Nikki Six, bassiste et fondateur de MÖTLEY. Il y a en effet les voix off de plusieurs personnages, mais c'est Nikki qui revient le plus souvent et qui raconte. Tout ça m'a étrangement rappelé Lords Of Chaos ! D'ailleurs la façon dont sont traités les tout débuts de carrière du CRÜE est assez similaire : on résume assez rapidement les choses et le contexte (pour les non fans bien sûr, c'est un film Netflix, donc très grand public), et on entre dans le vif du sujet ensuite. La route vers le succès, puis la déchéance pour finir sur la renaissance. Ultra cliché vous en conviendrez. D'ailleurs le film n'est qu'un cliché dans son intégralité, rien n’étonnera celui qui a lu le livre ou qui connait un tant soit peu leur histoire. Mais en même temps, MÖTLEY est un cliché donc bon... Le livre étant assez long, le film coupe tout de même certains passages mais surtout compile souvent, en une scène, plusieurs moments clés de l'histoire du groupe (les rencontres avec les amis / producteurs, les anecdotes de soirées, le studio, etc...). Même si le film est assez plaisant à regarder on n'évite pas une impression de compilation, de moments à ne pas manquer. Il y avait certainement une liste "scène à obligatoirement mettre dans le film" à porter de mains du réalisateur et ça se sent. Mais bon, en regardant un tel film on sait aussi à quoi s'attendre.
Le casting est convaincant, surtout l'acteur qui interprète Vince Neil, d'une justesse assez étonnante tout au long du film mais surtout dans les moments très difficiles de la maladie (et de la mort) de sa fille Skylar. Limite touchant le bonhomme. Les gars qui jouent les rôles de Nikki et Mick Mars font le job aussi, un peu moins convaincant par contre l'interprétation de Tommy Lee. Trop cliché (ah bon ?), et trop "je dois interpréter le mec le plus foufou du groupe, donc j'y vais à fond".
La mise en scène est très classique même si assez épileptique par moment, sans doute pour nous mettre dans le bain et dans l'ambiance survoltée et frénétique qui régnait à cette époque.
Le gros point fort du film est sa bande originale. Le groupe étant totalement impliqué dans le projet, il a été bien sûr été très facile d'avoir accès à tous les droits pour utiliser la musique du groupe. C'est tout le contraire d'un Lords Of Chaos pour le coup, ou aucun acteur de l'époque n'a "joué le jeu" (tu m'étonnes !). Les concerts sont, je trouve, très bien filmés et mis en scène, c'est bien simple on a l'impression de regarder un vrai live du groupe en DVD. C'est souvent très gênant dans les films du genre les scènes live : c'est très rarement crédible et réaliste en fait, le film évite donc au moins cet écueil récurant.
Ça, c'était l'avantage d'avoir les mecs du groupes "sur le dos" pendant la réalisation (et surtout au montage pour "validation" je pense). Mais le revers de la médaille c'est que j'ai trouvé que le film était tout à la gloire de nos quatre glamouses. En effet, même si leurs erreurs et leur "stupidité" d'ados éternels (parce que c'est ça ces mecs, des ados qui ont refusé de grandir) ne sont pas occultées, elles sont toujours édulcorées par de l'humour. Ou rattrapées dans une scène suivante par leur coté "humain" et de gars au final "sympathiques". En gros ils ont des défauts, ils se sont comportés comme des blaireaux pendant une grande partie de leur carrière (qui a dit "et ça continue !" ?), ils ont parfois été trop loin, tapé sur leurs "copines", mais bon ils sont sympas, non ? Donc ça passe. Et puis bien entendu, on a le droit à la fameuse "rédemption". Énorme succès, le succès te bouffe (et surtout tu deviens complétement has been avec ton groupe de glam quand la mode est passée), mais tu renais de tes cendres ! La fin du film nous suggère que le groupe, de retour après la période de vache maigre, est au mieux de sa forme et que tout redevient comme avant... Mais là, je ne suis pas dupe, on la connait l'histoire. C'est là le principale défaut de ce biopic pour moi : MÖTLEY CRÜE, soigne son image, fait reluire sa propre légende dans "son" film.
Bon, après on ne va pas trop intellectualiser tout ça, ni chercher la petite bête, ce n'est qu'un film, un divertissement comme l'était au final ce groupe de fous furieux venu de Los Angeles !
Et en ce sens c'est réussi, c'est divertissant.
Mortne2001 :
Je ne sais plus quand j’ai découvert MÖTLEY CRÜE pour la première fois. En rupture de ban de la Pop la plus radiophonique, et alors âgé de 13 ans, je cherchais autre chose que de simples tubes jetables que la radio grandes ondes diffusait comme autant de montants compensatoires pour public trop pressé pour se demander si cette daube était à l’image de sa vie. Je me souviens très bien par contre du riff de « Live Wire », qui m’avait giclé dans les oreilles telle l’éjaculation inondant vos draps la première fois que vous découvrez les plaisirs solitaires. Sauf que découvrir le CRÜE était tout sauf un plaisir solitaire, c’était un péché capital que l’on partageait entre potes, un faux secret d’initiés choquant les moralités bien pensantes qui affirmaient que la musique était solfège, mélodie et mesure. Ce jour-là, indéfini, m’a révélé la face du Rock américain dans toute sa splendeur excessive, dans toute sa turgescence incisive, et je voyais se trémousser devant moi des car-wash girls en bikini pailleté, ma vie prenant alors un tournant ouvertement sexuel et abusif qui allait me transformer en adulte qui ne vieillirait jamais. Mais s’il y a une chose que je sais, c’est que lorsque j’ai découvert le CRÜE pour la première fois, eux en avait déjà plein le caleçon. De la came plein le pif, des heures de route, des hectolitres de whiskey à go-go et de vodka Absolut comme leur mode de vie. J’étais loin d’imaginer qu’un jour un inconscient allait se démener pour porter leur vie à l’écran d’une chaîne câblée payante, et que des millions de people allaient se bloquer devant leur écran pour glousser de plaisir ou hurler de bonheur. C’est à cette tâche sur un slip historique que Jeff Tremaine s’est pourtant attelé, lui l’homme parfait habitué des blagues Jackass et des cascades improbables de Johnny Knoxville, Ryan Dunn, Bam Margera et autre Steve-O, soit l’homme de la situation impossible et le seul maître d’œuvre capable de tirer quelque chose de cette biographie devenue biopic, avec tous les débordements visuels que la transition entraîne.
Il y avait de quoi avoir peur en effet de voir un branleur pur produit de la culture hollywoodienne et ami de la skate generation se fondre dans le décor d’un Sunset qu’il n’avait certainement pas connu autrement qu’en regardant les clips passant sur la chaîne ayant fait de lui un héros du n’importe quoi. Un MTV boy pour raconter l’histoire du plus grand groupe de naughty boys de la culture Glam and Rock de Californie, pour nous faire un tour de Merry Go-Round vitesse grand V, avec nichons, blagues grasses, loges défoncées et narines l’étant tout autant, avec dans les rôles principaux un batteur stupide mais irrésistible de groove, un chanteur minet fleuron de sa famille, un guitariste centenaire et sombre comme une nuit d’Halloween à St Maclou, et surtout, un grand cafard bassiste moyen mais compositeur de génie qui lui aussi, avait conçu son existence comme un film. Comment résumer la légende la plus grotesque d’Hollywood en moins de deux heures, sans trahir l’esprit, sans oublier le plus important, sans faire passer ses personnages pour des héros mais sans les travestir en clowns tristes, tout en laissant la musique faire le job ? Simple, en réalisant son film comme le CRÜE agençait ses tournées, en misant sur le hasard, en laissant les protagonistes faire le boulot, et en confiant la confiance à des acteurs trop heureux de se laisser aller. Techniquement parlant, le film en lui-même ne tourne pas le dos à la philosophie du groupe. Il y a en gros les grandes lignes vite sniffées, beaucoup de gros seins, des scènes de cul pour rappeler que Vince et Nikki niquaient vite et rinçaient ju(s)te, et surtout, des passages en faux live rappelant que le plus important dans tout ça n’est pas de savoir si Tommy a vraiment vu Ozzy tapisser sa chambre d’Holiday Inn de merde, mais que MÖTLEY CRÜE, le vrai groupe, était sans doute ce que les eighties pouvaient nous offrir de meilleur et de pire.
Oui, j’ai aimé ce film, parce qu’il est sans prétention, et qu’il s’efface devant l’œuvre musicale. Le montage, trépidant, offre la fluidité nerveuse des crises de folie de Tommy, les travellings rendent hommage à la vision qu’a eu très tôt Nikki de sa carrière, et les performances d’acteurs sont chargées, spécialement celle de Machine Gun Kelly qui oublie parfois que son modèle était déjà un personnage à part entière et qu’il n’y avait aucune raison de le surjouer. Il est tout à fait possible de trouver Daniel Webber un peu plus fadasse que la blonde Vince Neil, et surtout, de considérer que Douglas Booth est beaucoup trop beau et trop carré pour incarner la folie visionnaire d’un camé ayant bouffé dans les poubelles les restes de rage nécessaires à faire de lui le chien fou qu’il est devenu. La suite ? Du connu, qui roule sans surprise, des débuts hargneux et tenaces, à la gloire internationale, les mariages foireux, les overdoses ratées de peu, les rencontres inévitables (le passage avec Ozzy Osbourne est savoureux, même s’il est difficile d’oublier que Tony Cavalero est un pur rejeton Nickelodeon), et surtout, crucial, la marge de progression de qualité que s’est imposée ce compositeur doué et roublard. Plaisir vicieux, j’ai jubilé lorsque Vince et Tommy ont conspué Theater of Pain comme étant un gros tas de caca (et je suis d’accord avec eux, avec « Home Sweet Home » et « Smokin ‘ In The Boys Room » en moins, ça faisait un album de merde en plus), et je me suis régalé des séquences live qui m’ont permis de vivre par procuration des séquences homériques dégoulinantes de testostérone que je n’ai pas connues à l’époque, à mon grand dam.
Les acteurs de The Dirt avec le réalisateur Jeff Tremaine
Plus objectivement, le tout n’est pas parfait, loin de là, ça tient parfois la route comme un solo foireux de Mick (excellent Iwan Rheon, décidément impeccable depuis la saucisse de Game of Thrones), et mis en parallèle avec des films comme Bohemian Rhapsody ou Rocket Man, la compétition tourne au carnage. Mais The Dirt n’est qu’un téléfilm, et comparé à la plupart des productions longues de Netflix, il tape le haut du panier des groupies, la partie où se cachent les plus délurées et les plus regonflées. Il se regarde comme on se tape une soirée cheap flix avec des potes le samedi soir, dans une chambre mal rangée avec du pop-corn cramé, avant de prendre la bagnole et de pousser le son à fond pour atteindre le centre-ville. Il est aussi immature techniquement parlant qu’un ado qui compose ses premiers morceaux (quoique Jeff a bien bossé sa partition et soit parvenu grâce au chef op’ à donner une patine joliment 80’s au tout), aussi nerveux qu’un coup de rein maladroit lors d’un coup tiré de bon aloi, et finalement, aussi euphorique qu’un cœur qui bat en entendant pour la première fois le riff mortel de « Look That Kills » sur une platine. Et non, Tommy ne jouait pas sur Zildjian, non Vince n’a pas fait 19 jours de taule mais 15 et ne conduisait pas une Corvette le jour de l’accident qui coûta la vie à Razzle, il n’a pas été père avant 1991, et non, son retour n’a pas déclenché des hurlements de joie en 1997, spécialement de la part de Tommy qui a fini par se faire la malle à cause de lui. Mais qui se soucie d’un quelconque pointillisme de la part d’un film qui finalement, raconte l’histoire de musiciens aussi approximatifs musicalement qu’erratiques humainement ? Certainement pas moi, qui aux alentours de treize ans, ait découvert qu’on pouvait être crétin, coiffé comme un épouvantail, et pourtant jouer la musique la plus cathartique possible. Mais comme le disait cette chanson prophétique :
« With his six string knife, and his street wise pride, the boy was a man before his time, and she knew, all their dreams would come true. »
Et si le show est bientôt fini, la légende elle ne mourra jamais, contrairement à ces quatre imbéciles. On with the show boys, on with the show…
J ai adoré ce film qui m'a fait connaître ce groupe. Depuis je me repasse leurs tubes.
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